Le 5 juin est la journée mondiale de l’environnement.
Une date de commémoration promulguée par le PNUE, acronyme du Programme des Nations Unies pour l’Environnement. La Journée mondiale de l’Environnement est initiée par l’Organisation des Nations unies en 1972, à l’occasion de l’ouverture de la Conférence des Nations unies sur l’environnement de Stockholm.
Elle est inscrite parmi les dates marquantes maintenant depuis quatre décennies. C’est chaque fois l’occasion de mettre sur le devant de la scène les questions essentielles de la protection de l’environnement et ses conséquences sur la qualité de vie des populations. De nos jours, il est question de survie de notre planète.
Les Nations Unies ont dressé une liste de points noirs pour lesquels un effort important doit être entrepris de toute urgence. Les grands chantiers à poursuivre sont : la lutte contre la destruction de la couche d’ozone; contre la déforestation et la préservation de la qualité des réserves d’eau.
Lutter contre la désertification et la sécheresse.
Dans mon livre publié fin 2020 aux éditions Alpen, « Zéro déchet ? Je m’y mets! » qui a nécessité le concours d’interviews menées à l’international, j’explique comment tout un chacun peut contribuer à l’effort pour la planète. Un effort ecoresponsable soutenu par la lutte anti-gaspillage dont il est indissociable. Les déchets invisibles sont parfois les plus nuisibles. J’aborde notamment le fléau des déchets en mer et les continents de déchets .
Et surtout, le déchet n’est pas toujours un problème mais peut être la solution. Misons sur le réemploi, le recyclage, et bannissons définitivement l’ère du jetable afin de privilégier celle du durable.
LG